Discrimination : les Africain.e.s doivent prendre leurs responsabilités.

La vie comme un art

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Il est plus que temps d'arrêter le massacre !!!

Il faut que l'Afrique, les noir.e.s prennent leurs responsabilités envers le reste du monde et stop l'hémorragie de ce monde de dégénérescence.

Je pense que pendant longtemps et peut être, sans doute encore même aujourd'hui, les Africains pensent que les blancs vont mourir d'eux même dans leur vomi d'arriérés et que la nature fera son travail d'élimination... La sélection naturelle. Or, nous constatons que c'est très loin d'être le cas et qu'ils sont capables -nous sommes capable- de trouver des solutions de l'horreur pour nous reproduire même quand la nature a mis son véto et sonné la fin du game... Nous sommes à deux doigts de faire porter nos bébés humains par des génisses et de faire accoucher nos femmes de bêtes hypothétiques... Cela ne s'arrêtera pas et s'il y a bien une mort au final, ce sera celle de toute l'espéce. Nous sommes tous dans l'ascenseur, attendant de descendre...

On va tous crever.

Il vaut mieux en rire, mais c'est édifiant... Cela fait des années que je me demande ce qu'il manque dans ce pays. Je vois, je sens, je sais bien qu'il manque quelque chose, mais je n'arrivais pas à mettre le doigt dessus précisément et à identifier ce manque qui se cache derrière la honte, la filouterie, le mensonge, la haine...

Il manque une autorité. Il manque un père et une mère. Il manque l'Afrique et les africains.

Si la situation dégénère à ce point, si l'Homme continue sa dégénérescence qui va en s'accélérant, ce n'est pas la faute des blancs qui pourrissent la terre et dégrade l'humain. C'est la faute de ceux qui ont le pouvoir d'arrêter ça et de mettre un terme à tout ces mauvais comportements acquis par trop d'errance. On ne peut pas grandir droit quand on est complètement paumé.

Au fil de mes recherches, je me suis rendu compte que c'est par une adaptation à son environnement que l'humain est passé de noir à blanc en perdant dans ses changements climatiques ce qui le relie parfois aux sacrés. Quand on lutte contre la mort on a plus de chance de douter de Dieu que quand on a tout sous le soleil... Et cette perte se transmet de génération en génération en faisant oublier jusqu'au racine même de l'humain qui sont alors rejetées violemment et détestées. A juste titre.

Nous ne sommes plus dans une guerre de couleur de peau. C'est trop tard pour ça. Nous sommes dans une lutte pour survivre et toutes les couleurs se trouvent autant dans un camps que dans l'autre. Il y a une multitude de famille en Europe, aux Etats-Unis, en Asie, partout dans le monde, qui a su préserver la vie en s'adaptant correctement à son environnement, qui vit paisiblement et n'aspire qu'à la paix... Nous sommes de toutes les couleurs.

Mais il y a aussi une multitude qui demandent la débauche, la haine, la violence, la destruction et qui pousse vers la mort de l'humain et ils sont aussi de toutes les couleurs.

Nous ne sommes plus dans les temps où nous pouvions nous conformer à la couleur pour savoir qui jouait dans quel camps. Nous sommes à présent dans une guerre idéologique et psychologique ou chacun et chacune doit choisir en son âme et conscience s'il lui en reste encore.

Mais ceux et celles qui ont les richesses, le soleil et le berceau doivent intervenir et s'exprimer pour rappeler à l'humain qui il est et d'où il vient parce que le mensonge est ancrée et que si on ne sait pas d'où on vient, la vie n'a pas de sens alors en lui en invente mille tous aussi incohérent et remplis de malheurs les uns que les autres.

L'Afrique, les africains et les africaines, qu'ils soient noirs ou blancs, doivent prendre leurs responsabilités et révéler qui ils sont, pourquoi et comment et apprendre aux autres à les rejoindre fraternellement.

Si quelqu'un trouve la recette, je suis preneuse.


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