Hier je pensais à mon webmaster. J'aime beaucoup beaucoup mon webmaster.

Depuis 10 ans, avec une petite pause le temps que je pète un câble pour avoir été trompé, j'ai la très grande chance d'avoir à mes côtés un webmaster qui travaille sur mon site. Et j'aime beaucoup mon webmaster. J'ai toujours aimé beaucoup mon webmaster, sauf quand j'ai voulu le tuer, mais apparemment il ne m'en veut pas trop. Je crois... J'espère...

J'ai une relation avec mon webmaster qui ressemble point par point à mes amitiés d'enfant. Je crois que quand je parle avec mon webmaster, je suis un peu une enfant. Je me sens très à l'aise, pas jugée, pas en danger et toujours au même niveau que je sois plus haut (sur l'accouchement par exemple) ou plus bas (sur tout le reste que l'accouchement par exemple). C'est une relation très confortable parce que nous avons je pense chacun nos marques à l'intérieur et nous priorisons toujours le site avant nous même. Comme un enfant commun. Ce qui fait que nous évitons de nous fâcher généralement en gardant en tête qu'il y a un projet au milieu de nous qui ne peut pas supporter nos petites humeurs. En tout cas c'est comme ça que moi je le vis parce que lui n'a pas tendance à faire passer ses humeurs sur moi contrairement à moi qui suis plus sanguine et peux avoir plus de difficultés à prendre de la hauteur. Bref, nous avons chacun nos caractères, nos univers et nous évoluons ensemble, tranquillement et en harmonie depuis 10 ans.

Il m'est arrivé parfois de me dire que vu que mon webmaster et la seule personne que je peux réellement supporter sur le long terme, il pourrait être ma solution à mon désarroi sentimental. Et plus Albert s'éloigne de moi et plus je pensais cette solution comme logique... Puisque je répète, j'aime vraiment beaucoup mon webmaster.

Et puis il y a eu toutes ces fois où j'ai dû supporter les amoures d'Albert... Je me disais donc que si Albert avait le droit d'aimer qui bon lui semble, alors moi aussi, ça ne le dérangerait pas que j'aime qui j'aime en l'aimant lui aussi. Et c'est logique. Il n'y a rien d'incohérent à mon raisonnement. J'ai souvent agis en miroir d'Albert alors sur ce point, qui en plus me fait du mal, je ne pouvais pas agir autrement...

Mais depuis que je l'ai rencontré, je n'ai jamais trompé Albert. Il m'est arrivé une fois de le quitter mentalement pour sortir de cette histoire, mais c'était tellement pourri que je suis vite revenue vers l'amour d'Albert et je ne suis plus jamais partie.

Presque 5 ans plus tard, après avoir mangé ma race en regardant Albert aimer d'autres femmes que moi... Après avoir vu dans quel état sortent les femmes qu'Albert a montrer aimer... Après avoir regarder la beauté de mes cheveux, le calme de ma Maison, ma joie, la force de mon amour pour Albert... Après tout ça seulement, je comprends pourquoi Albert a cette liberté sexuelle que grâce à Dieu et à lui, il m'évite d'avoir... Cette liberté sexuelle d'Albert n'est pas un cadeau pour lui... C'est une arme. Et il ne l'a jamais braqué sur moi. Il m'en a protégé et m'a même montré en toute honnêteté et transparence comment il s'en servait et les ravages que ça faisait quand ayant donné son corps comme une porte ouverte à son amour il se retrouvait face à des femmes qui lui mentaient et le méprisaient, se servant de lui autant que lui d'elles pour avancer et survivre.

Ce que je fais quand je garde une porte sentimentale autre que celle de l'amour pour Albert ouverte, c'est que je donne tout l'amour qu'Albert met en moi à quelqu'un qui n'est pas Albert et la même chose que je lui reprochais, je le fais moi même...

Sans les maîtresses d'Albert qui se laissent séduire par lui, je n'aurais pas mes enfants adorés heureuses à la Maison, mon corps et mes cheveux sains, mon site remplie de contenus que j'ai eu le temps de réfléchir et de remplir parce que je suivais mon amour d'Albert...

Alors si je veux être complètement honnête, je dois reconnaître que tout ce qu'à fait Albert avec ces femmes me servait surtout moi (et lui sans doute) et qu'en guise de reproches et de larmes, j'aimerais lui donner ma reconnaissance infinie, ma tendresse et mon entière fidélité, physique et mentale réelle.

Merci pour cette belle leçon de vie et pour m'avoir appris la vraie pure seule liberté sexuelle, celle de pouvoir se permettre de n'aimer qu'un seul homme : Albert Levy.

J'espère qu'un jour j'arriverais à t'offrir le même privilège.