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Mon père gisait sur le sol, en criant mais je ne pouvais absolument rien faire. Ni moi ni ma mère ne savions comment faire. Un allemand lui avait tiré dessus alors que mon père voulait nous mettre à l’abris ma mère et moi. Une balle dans le cœur en plus il n’ont pas honte d’attaquer de pauvre gens qui ont des enfants en plus. Ma mère et moi l’avons porté de toutes nos forces pour le mettre dans la voiture et aller à l’hôpital avant qu’il ne meurt, je ne veux pas vivre tout seul avec ma mère et ma petite sœur. Vivre sans mon père serait inimaginable. L’hôpital est là mon père cri de plus en plus alors on essaye de faire le plus vite possible. Des infirmiers le prend en charge, nous laissons ma mère et moi. Ma mère et mon père était marié depuis leur 18 ans, elle m’a eu et elle est enceinte en ce moment même de 8 mois, et elle serait meurtrie de perdre l’homme de sa vie, le père de ses enfants. Je la comprends. Et dire que je n’ai que 14 ans. Un docteur vient vers nous et nous emmène dans la chambre où se situe mon père. Mon père était en transpiration des pieds à la tête. Le docteur s’approche vers nous d’un air désolé.

  • Votre père c’est pris une balle dans le cœur, elle est bien trop profonde nous ne pouvons pas l’enlever. Il ne lui reste que quelque temps à vivre je suis désolé.

Il partit pour nous laisser seul avec papa... maman la première se met à pleurer et à lui dire plein de mot je peu pas les dire tellement il y en a... Vient mon tour où je m’approche de papa et je lui parle comme si c’était un miroir.

  • Il faut bien mourir un jour, je ne savais pas que ce jour aller être aujourd’hui. Dieu en a décidé ainsi, tu as était pour moi le meilleur père qu’un enfant  ai pu avoir. Tu va rejoindre le ciel parce que ta gentillesse à servi enfin j’espère j’espère devenir un homme un vrai comme toi papa plus tard. Tu ne méritais pas de mourir papa. Veille toujours sur nous d’en haut.                     Et je lui fis un bisou sur le front. Il n’a rien dit mais pour moi je sais qu’il a entendu.   

On c’est tous blotti contre lui, mais j’ai senti son souffle se coupé. C’était fini. Tout un monde s’écroulait.

Quand on est rentré a la maison personne ne parlais. On a mangé en silence et je suis aller me coucher en silence. Comme si de rien était. Maman était pâle et tremblante.

                                    Lundi 22 novembre 1

Un enfant, enfin un humain n’aimerais pas revivre cet instant. Il y a des moment que l’on a envie de revivre des centaines de fois, pas celui là. Je me réveille en pensant, en pensant à nous, au futur au présent sans me rendre compte que l’heure passe.

Je m’appelle Jérémy, j’ai 14 ans. Je vis en France avec ma mère, plus précisément dans un petit village enfin un petit. Disons qu’il s’y passe des choses, je ne vais pas mentir et dire que je vis dans la paix et l’amour. Non, il y a la guerre malheureusement, il fallait bien passer par cette case la. Je vais souvent à l’école du village pour étudier, parce que plus tard j’aimerais devenir docteur. Docteur, pour soigné les gens, mon père lui n’était pas docteur il était un soldat un vrai de vrai... Vous allez vous dire pourquoi alors il ne s’est pas défendu quand Les allemand lui on tiré dessus ? Il n’a pas eu le temps. A ce moment là on était à table et on a entendu des tirs alors mon père voulait nous mettre à l’abri, comme d’habitude, et dans la foulée en sortant voir ce qui se passait il s’est fait tiré dessus. Il n’a pas eu le temps de prendre ses armes... C’est assez triste, j’ai même plus envie de me lever, mais j’me lève quand même. Je décide d’aller à la bibliothèque, je ne vois pas ma mère alors je suppose qu’elle dort...


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